Revue Voltaire 14 (2014), p. 293-307.
Emplois voltairiens de l’ironie libertine Patrick Neiertz
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Neiertz Patrick
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Patrick Neiertz : Emplois voltairiens de l’ironie libertine
17 juin 2016 -
Patrick Neiertz, « La Hollande et Voltaire : mythes et réalités »
11 janvier 2015Revue Voltaire, 15 (2015), p. 91-104.
Patrick Neiertz, « La Hollande et Voltaire : mythes et réalités »
À partir des travaux déjà consacrés au sujet et d’une lecture des textes écrits tout au long de la carrière de Voltaire, cette étude propose un bilan des expériences vécues de l’écrivain avant de dégager un mythe hollandais dans sa pensée et de suivre le développement, l’exploitation et l’évolution de ce mythe au fil des années. Durablement considérée comme l’emblème de la liberté religieuse et (...) -
Patrick Neiertz, "Les Etrennes de 1768 : L’Homme aux quarante écus"
13 janvier 2012Revue Voltaire, 12, 2012, p. 321-338.
Patrick Neiertz, « Les Étrennes de 1768 : L’Homme aux quarante écus »
Des Scythes à L’Ingénu et aux polémiques avec Coger, La Beaumelle et quelques autres, l’année 1767 fut une des plus intenses de la carrière littéraire de Voltaire. Derrière ses productions et l’abondante correspondance qui les accompagnent se cache un non moins intense travail documentaire dont la future réédition du Siècle de Louis XIV n’est pas la moindre cause. L’année est aussi chargées d’« (...) -
Patrick Neiertz, « Le Dîner du Comte de Boulainvilliers : un ’dialogue des morts’ des auteurs clandestins »
13 janvier 2012Revue Voltaire, 8 (2008), p. 151-164.
Patrick Neiertz, « Le Dîner du Comte de Boulainvilliers : un ’dialogue des morts’ des auteurs clandestins »
À la fin de 1767, Voltaire, malade et cloué au lit durant de longues semaines, désire résumer les lectures et les écrits d’une année très dense. Les lectures économiques et scientifiques inspireront le pot-pourri de L’Homme aux quarante écus. La critique théologique génère l’une des meilleures productions de l’ironie voltairienne : Le Dîner du Comte de (...) -
Patrick Neiertz, « Voltaire et les économistes »
25 mai 2011Revue Voltaire, 11 (2011) , p.287-319.
Patrick Neiertz, « Voltaire et les économistes »
L’économie politique, qui acquiert son statut de science durant les Lumières, ne pouvait que passionner Voltaire. D’abord parce que, philosophe, il comprend que la phénoménologie de l’économie interroge l’éthique, la politique et l’épistémologie. Mais aussi parce qu’il est lui-même un praticien de l’économie : économie financière et marchande durant les années où il bâtit une fortune conséquente, gage de son indépendance (...)